A la galerie Réservoir de Séte une rétrospective de Andrée Vilar.(1916 2009).
Moins connue que son mari, Jean Vilar, homme de théâtre, elle représente bien cette génération d’artiste déconstruisant la forme mais gardant les volumes et les couleurs, jouant sur la composition afin de donner un sens qui tient quand même au réel . Ce courant artistique nommée “ les très modernes» ( Jean Louis Pradel) a eu une notoriété dans les années cinquante/soixante. Ni avant garde, ni traditionnel, ni en rupture de la peinture, entre abstraction et figuration. On devine ici par la rondeur des courbes des corps, les aplats de couleur, le plaisir simple de représenter un environment symbolisé entre reflet et ligne.
Dans l’exposition sont présentés dessins et peintures, mais aussi des tapisseries. Il y a aussi quelques céramiques car sa sœur Valentine Schlegel a fait sa carrière dans la céramique d’art, et elles ont travaillé ensemble.
Il est présenté dans cette rétrospective ses premières peintures.
Je ne peux pas écrire les titres et dates, car au moment où j’ai vu cette exposition, il manquait encore des étiquettes informatives.
Et des tapisseries.
Et les tableaux avec beaucoup de reflets
Sur le web d’autres exemples !
le portrait de cette femme nous est donné:
Hommage
“ Véritable voyage à travers le temps, retraçant la vie d’une femme, illustratrice, peintre, dessinatrice et poétesse.
Femme poète, illustratrice, peintre, dessinatrice, Andrée Vilar laisse une œuvre méconnue, importante et diverse dont plus d’une cinquantaine de pièces seront présentées au Réservoir à Sète. Un voyage à travers le temps pour faire la lumière sur une artiste discrète et passionnée.
Cette(re)découverte est le fruit d’un travail d’inventaire familial (réalisé en majeure partie par sa petite fille Clémence et son fils Christophe). Et met en évidence une œuvre foisonnante de gravures, pastels, encres, dessins et tapisseries… Autant de supports présents tout au long de son évolution artistique.
En hommage à cette artiste disparue en 2009, une cinquantaine de ses œuvres, tapisseries et papiers, seront présentées au Réservoir à Sète. Véritable voyage à travers le temps, retraçant la vie d’une femme, illustratrice, peintre, dessinatrice et poétesse.
Les encres des années 1960 sont représentatives de son monde imaginaire, très influencé par ses racines méditerranéennes. On y retrouve les oiseaux marins, le vent, les nuages, des corps de femmes, le soleil, les barques et très souvent la mer.
Plus tard, la douceur de ses gouaches, dans lesquelles les corps tout en courbes et baignés dans une harmonie de tons si délicats, font penser au silence de la contemplation. On retrouve dans ses différentes productions, tous supports et techniques confondus, la même atmosphère que dans ses recueils de poésies.
La mémoire de l’environnement est toujours présente, ainsi que le souvenir de Sète, sa ville natale.
Le site de la galerie: https://artetpatrimoine.art/▪%EF%B8%8Fexposition-andree-vilar-le-reservoir-sete/
Dans la famille Jean Vilar il y a aussi son fils qui est peintre.
http://www.christophevilar.com/huiles/
Andrée Vilar, Le réservoir à Sète, tapisserie, mouvement des “trés moderne”, céramiques,
——————-
———————————-
—————- ————————- ———————————-