Expo les monstres à la gaité lyrique
Ou comment les designers de la mode (principalements des pays Bas ) nous montrent leurs créativité.
Expo les monstres à la gaité lyrique
Ou comment les designers de la mode (principalements des pays Bas ) nous montrent leurs créativité.
Anish kappor. Bombay 2008
Jeppe. Hein. Rotating labyrinth. 2007
Francois Morellet. Triple X Neonly 2012
Julio Le Parc. cloison a lames réfléchisants. 1966
Vasarely
Jean Tinguely. Meta Malevich 1954
Mario Ballocco. Alternanza di contrasto 1962
Gregorio. Vardanega Espace chromatique 1970
Julio Le Parc. Lumiere alternée. 1966/1993
P
Se promenant dans Montpellier
Une porte cochère est ouverte
Sur des sculptures
A regarder de plus près entre Botero et Ousmane-Sow mais en plus doux.
La sculptrice Eliane Mery nous enmène dans un monde où les femmes s’amusent.
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hhttp://eliane-mery-sculptrice.com/
/a>a>lptrice.com/
P
C’est simple
Et c ‘est intéressant de voir son site, http://eliane-mery-sculptrice.com/
Voir comment par rapport à ses scultures antérieures, par la déformation des hanches, elle donne de la force à l’expression de ses personnages.
br />Trouvé un écriture plus réaliste pour monter la réalité.
href= »http://fr.wikipedia.org/wiki/Lazar_Lissitzky »>
A l hermitage une exposition de cette artiste
Lazar Lissitzky
Lazar Lissitzky
Lazar Lissitzky (en russe : Лазарь Маркович Лисицкий, Lazar Markovitch Lissitski), dit El Lissitzky (Эль Лисицкий), né Smolensk) le 23 novembre 1890 et mort à Moscou le 30 décembre 1941 est un peintre d’avant-garde russe, également designer, photographe (travaillant notamment sur les photogrammes), typographe, et architecte.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lazar_Lissitzky
Article de wiki est complet.
A
https://oliviercome.wordpress.com//a>/
A la fondation Cartier Bresson en mars 2013 l’expostion vue Avec Marie Hélène. et de tous les photographes
J ai retenu des photos de Aromir Funke qui joue de l ombre et de la lumière, que jai complété.
L
Je ne suis pas sur que cette photo soit de lui..
Ce musée à Séte nous montre toujours une production popualire,
Que ce soit les objets du quotidien au delires des jeunes artistes de Manille
hhttp://miam.org/actu1.htma>tu1.htm
–
L’art modeste s’inscrit dans le prolongement de la figuration libre. Libre de tout dogme, les acteurs de la figuration libre ont affranchi l’art de l’hégémonie de tout dogme, doctrine, théorie. Art majeur, art mineur, art singulier, art brut, art hors norme, art primitif et populaire, art rural et citadin, occidental et non occidental, avec la figuration libre toutes les formes d’art ont enfin le droit de cité, d’exister, de se côtoyer, d’être apprécier et célébrer en un même lieu, dans le même espace temps: loin de tout ghetto.
A l’histoire des peuples succèdent l’histoire des individus, l’histoire de l’homme retrouvé.
Avec les arts modestes, l’histoire des peuples et l’histoire des individus s’associent. Osmose de l’acte créatif et de la mémoire collective, de l’expression personnelle et de l’archétype culturel.
En dehors de sa caractéristique culturel propre, la célébration des objets qui ont une âme modeste, l’art modeste se doit d’être aussi une passerelle entre les diverses formes d’art, sans frontière de genre et d’origine. Cette activité doit certes rester secondaire, minoritaire, mais elle est le gage de sa liberté, sans quoi l’art modeste ne serait qu’un ghetto de plus où les seules discussions amèneraient à tergiverser sur l’homologation de tel ou tel objet comme appartenant ou non à l’art modeste. Certaines passerelles jetées par les arts modestes sur les multiples affluents de la culture prêteront à confusion, susciteront la perplexité voir le rejet.
Ces confusions perplexités et rejets, seront les lettres de noblesse de l’art modeste, mises en scène de l’apparente antinomie textuelle de cette union entre l’art et la modestie.
L’art modeste peut ainsi et aussi faire peur. Cet art modeste qui s’impose aujourd’hui à nous, dont certains devraient craindre une expansion internationale légitime, ne se contentera pas de jouer le rôle de brocanteur. Le braconnage est son mode d’expression. Tel Robin des bois, l’art modeste braconne sur les terres qui ne lui appartient pas, celles de l’art contemporain, de l’art brut, de l’art singulier, de l’art populaire ou encore de l’art primitif. Il braconne forcément puisque aucune terre ne lui appartient, puisqu’il n’est pas propriétaire des arts qu’il nous montre, et ne veut surtout pas l’être. L’art modeste redistribue l’art, toutes les formes d’art, à ceux qui n’en ont pas, à ceux qui en n’ont pas l’accès.
Exemple de tableaux dans l’exposition en référence au poète SALAH STÉTIÉ ET LES PEINTRES.
Au musée Paul Valérie à Séte. En Janvier
http://www.museepaulvalery-sete.fr/salah_stetie_et_les_peintres.php
r />
Jacques Clauzel
Julius baltazard
Mohamed Said Saggard
Au cours des cinquante dernières années, Salah Stétié a publié plus de 150 livres réalisés en collaboration avec de nombreux peintres, parmi lesquels figurent notamment Alechinsky, Kijno, Tapiès, Titus Carmel, Zao Wou-Ki, Jan Voss ou, tout dernièrement, Viallat, Woda
Mais les photos montrent des artistes moins connus.
Pierre alechniski
gravure
de Christiane Vielle
Salah Stétié
La mort d une figue
L’homme
Le point de vue d’Yves Bonnefoy
Etudes universitaires
Le critique d’art
L’essayiste
Libre tribune Le méditerranéen Salah Stétié et le Liban
Un auteur francophone
Salah Stétié
en langues étrangères
MÉDITATION SUR LA MORT D’UNE FIGUE
in
Fiançailles de la fraîcheur, Éditions de l’Imprimerie Nationale, 2003
Les oiseaux sont de jour
Les oiseaux sont de nuit
Figue puissante et belle
Et de beau blanche et de peau noire es-tu
Selon ta race étrange
A peine ouverte avec du sec avec du lait
Et dans ton corps d’infante
Fendu sous le duvet
Le feu de ta féminité nature
Attire écarte épuise
Les oiseaux fous de la lumière de la lune
Aux pièges de l’Angelico
Fermés, réels
– – – – –
Beauté saveur l’éclat des étamines
Tes fibres tes fibrilles
Quand tu t’ouvrais cela qui savait rire
Etait bouche avec bouche
La couleur de ta chair chargée de lèvres
Et ta langue profonde
Déchirait les tissus et retissait
Le corps comme une langue ou flamme
Ou langue
Profanatrice, langue de profanation
– – – – –
La mamelle est ridée
L’outre du vent splendide
A libéré le ciel de tous ses pleurs
Il y a eu le soleil et il y a eu la lune
Pour aider la plus figue à devenir si ronde
Pour aider la plus fille à devenir suave
Pour aider l’une et l’autre à mélanger leurs pleurs
A mélanger leurs peaux d’amour jusqu’aux sucs
– – – – –
Tu es présente dans l’esprit ultime vulve
Que remplira le sable de l’esprit
Et qui disparaîtra, non pas figue,
Mais femme avec des drapés de silencieuse
Dans un Orient vieilli de vieux raisins
Pleurant on ne sait qui, le nom perdu,
Femme qui fus
Suprême dans tes voiles
Et ces voiles ont brûlé aussi, et tes cheveux
– – – – –
A pleuré, cette femme, elle a pleuré
Et dans ses doigts l’objet lacrymatoire
Celle étendue dans le dessèchement
Ses jambes resserrées sur ce qui
Fut
Cela fut cela fut
Comme un jeune aigle tendre
Eventant de ses ailes
Le nid très haut placé de son désir
– – – – –
Il n’y a plus de peau d’amour mon amoureuse
Bien-aimée, belle humaine
Je pense à toi je pense à toi je pense
A ta robe oubliée
Ta vie tendre et souillée
A ton corps retourné de nuit par la pensée
Pour illustrer de l’intérieur le feu
Qui n’est rien ni personne
La figure ayant figuré, la pourriture
Ayant dormi dans la corbeille entrelacée
Sous le jasmin blanc des amants
Exposition au fil de l’eau.
De Paup Signac
Herblay
Pont d Albi Pas dans l exposition mais …pour Pascale …
Là , Les poivrons
aussi pas dans l exposition.
Saint tropez
Concarnaux
Saint Tropez le port
Ouistream
A voir car il realiser tous les ports en aquarelles a la fin de sa vie
Et petit dessin de lile de Groix.
Exemple de tableaux dans l’exposition en référence au poète SALAH STÉTIÉ ET LES PEINTRES.
Au musée Paul Valérie à Séte. En Janvier
http://www.museepaulvalery-sete.fr/salah_stetie_et_les_peintres.php
r />
Jacques Clauzel
Julius baltazard
Mohamed Said Saggard
Au cours des cinquante dernières années, Salah Stétié a publié plus de 150 livres réalisés en collaboration avec de nombreux peintres, parmi lesquels figurent notamment Alechinsky, Kijno, Tapiès, Titus Carmel, Zao Wou-Ki, Jan Voss ou, tout dernièrement, Viallat, Woda
Mais les photos montrent des artistes moins connus.
Pierre alechniski
gravure
de Christiane Vielle
Salah Stétié
La mort d une figue
L’homme
Le point de vue d’Yves Bonnefoy
Etudes universitaires
Le critique d’art
L’essayiste
Libre tribune Le méditerranéen Salah Stétié et le Liban
Un auteur francophone
Salah Stétié
en langues étrangères
MÉDITATION SUR LA MORT D’UNE FIGUE
in
Fiançailles de la fraîcheur, Éditions de l’Imprimerie Nationale, 2003
Les oiseaux sont de jour
Les oiseaux sont de nuit
Figue puissante et belle
Et de beau blanche et de peau noire es-tu
Selon ta race étrange
A peine ouverte avec du sec avec du lait
Et dans ton corps d’infante
Fendu sous le duvet
Le feu de ta féminité nature
Attire écarte épuise
Les oiseaux fous de la lumière de la lune
Aux pièges de l’Angelico
Fermés, réels
– – – – –
Beauté saveur l’éclat des étamines
Tes fibres tes fibrilles
Quand tu t’ouvrais cela qui savait rire
Etait bouche avec bouche
La couleur de ta chair chargée de lèvres
Et ta langue profonde
Déchirait les tissus et retissait
Le corps comme une langue ou flamme
Ou langue
Profanatrice, langue de profanation
– – – – –
La mamelle est ridée
L’outre du vent splendide
A libéré le ciel de tous ses pleurs
Il y a eu le soleil et il y a eu la lune
Pour aider la plus figue à devenir si ronde
Pour aider la plus fille à devenir suave
Pour aider l’une et l’autre à mélanger leurs pleurs
A mélanger leurs peaux d’amour jusqu’aux sucs
– – – – –
Tu es présente dans l’esprit ultime vulve
Que remplira le sable de l’esprit
Et qui disparaîtra, non pas figue,
Mais femme avec des drapés de silencieuse
Dans un Orient vieilli de vieux raisins
Pleurant on ne sait qui, le nom perdu,
Femme qui fus
Suprême dans tes voiles
Et ces voiles ont brûlé aussi, et tes cheveux
– – – – –
A pleuré, cette femme, elle a pleuré
Et dans ses doigts l’objet lacrymatoire
Celle étendue dans le dessèchement
Ses jambes resserrées sur ce qui
Fut
Cela fut cela fut
Comme un jeune aigle tendre
Eventant de ses ailes
Le nid très haut placé de son désir
– – – – –
Il n’y a plus de peau d’amour mon amoureuse
Bien-aimée, belle humaine
Je pense à toi je pense à toi je pense
A ta robe oubliée
Ta vie tendre et souillée
A ton corps retourné de nuit par la pensée
Pour illustrer de l’intérieur le feu
Qui n’est rien ni personne
La figure ayant figuré, la pourriture
Ayant dormi dans la corbeille entrelacée
Sous le jasmin blanc des amants
Exposition au fil de l’eau.
De Paup Signac
Herblay
Pont d Albi Pas dans l exposition mais …pour Pascale …
Là , Les poivrons
aussi pas dans l exposition.
Saint tropez
Concarnaux
Saint Tropez le port
Ouistream
A voir car il realiser tous les ports en aquarelles a la fin de sa vie
Et petit dessin de l’île de Groix.