.Valérie DU CHÉNÉ

Au C R A C de Sère en October 2014. Dans une expo collective  sur un mur  le travail de Valérie DU CHÉNÉ m a plus.   La gouache  forme collorèe  sur les Murs  un espace qui prend  du volume .
  

Sur son site  Valérieduchene.com

Un explication , Mais  c est la plasticitè de cette   image instalation  …

Aspiration – dossier de présentation

Texte du livret pélagique du CRAC LR pour l’exposition L’ARCHIPEL

Valérie du Chéné a exploré les archives de la Bastille en compagnie de l’historienne Arlette Farge, co-auteure avec Michel Foucault d’un ouvrage de référence sur le sujet intitulé « Le désordre des familles. Lettres de cachets des Archives de la Bastille au XVIIIème siècle » (1982). De ce partage complice de connaissances, Arlette Farge en a tiré un récit et Valérie du Chéné une série de gouaches et de lithographies directement inspirées par les comptes rendus des procès-verbaux. 
L’installation de Valérie du Chéné au CRAC reprend et développe ces éléments tout d’abord réunis dans un ouvrage : « La Capucine s’adonne aux premiers venus. Récits, suppliques, chagrins » (Editions La pionnière octobre 2014).

La voix de l’historienne fait l’objet d’une pièce sonore qui répond aux dessins de l’artiste tandis que leur rapport croisé à l’archive s’y retrouve plastiquement exprimé sous la forme de deux wall painting figurant au delà de la narration des amoncellements de documents colorés. Ou comment passer de la profondeur temporelle de l’archive à la planéité sans histoire de peintures murales traduisant par leurs formes géométriques multicolores les affaires de mœurs hautes en couleurs de l’Ancien Régime.
   
 
N

   
   
 

JONONE

A l églises saint Anne 

   

L expo á Saint Anne de Montpellier a une un grand succès 

JONONE.     D’origine dominicaine, John Perello est né dans le quartier de Harlem[4], à New York en 1963. Il débute dans le monde du graffiti à 17 ans grâce à son ami d’enfance White Man[5], taguant son nom Jon suivi de 156 (sa rue) sur les murs et les trains de son quartier, puis ceux de tout New York[6]. Selon lui, « Le métro, c’est un musée qui traverse la ville. »[7]
Il crée le collectif de graffeurs 156 All Starz en 1984, afin de réunir leur passion, peindre des trains la nuit et oublier leurs problèmes, notamment de drogues[7]. Il fait alors la connaissance de Bando, résidant à New-York à cette période. À la suite d’une invitation de ce dernier, il économise de l’argent et vient à Paris en 1987[7]. Il commencera à graffer avec lui, Boxer et le BBC Crew[5]. Il débute son activité de peintre sur toile dans un atelier à l’Hôpital éphémère[8],[9],[10] avec A-One, Sharp, Ash (Victor Ash), JayOne et Skki, sans pour autant abandonner le graffiti. Très vite, il se fait un nom dans les milieux artistiques parisiens grâce à ses œuvres sur toile dans les expositions; il est exposé en 1990 à la Gallery Gleditsch 45 de Berlin et participe en 1991 à l’exposition Paris Graffiti, rue Chapon à Paris. Dès lors, il ne cesse d’exposer à travers le monde : Tōkyō, Monaco, Paris, Genève, New York, Hong Kong ou encore Bruxelles. (Wikipedia)



   
 

  1.       

  

Très bien