Biennale de Venezia.

La biennale se situe principalement à l arsenal , dans les anciens entrepôts et le jardin Gardini certains pays ont construit un pavillon , d’autres exposition sont dans dans la ville.
Commençons par des expositions situées dans la ville.

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Sur la pointe, face à la mer et à l’entrée du musée de Pinault sont présentes 4 sculptures en bronze de Tomas Schulte.

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2- Jesper Just. Artiste danois film à mettre ici

3- Pour le Mexique , dans l église de Silentio Pathologia est installé Le Cordiox de
ARIEL GUZIK . Il a construit une machine sonore haute de quatre mètres, appelée Cordiox, qui transforme les modifications de l’environnement en musique.
La température, l’humidité, la présence de personnes dans la salle – tous ces facteurs créent des vibrations dans un cylindre creux en quartz de 180 x 45 cm, avec seulement 5 mm d’épaisseur. Les cordes adjacentes (comme celles d’un piano) vibrent en harmonie avec le quartz, et créent des sons. Bien que le travail de Hadzi-Vasileva soit en grande partie artisanal, il aborde un souci très contemporain – la propagation des maladies. Bien plus high-tech, le travail de Guzik se concentre plutôt sur des idées d’harmonies naturelles («la musique des sphères»).

http://www.labiennale.org/it/mediacenter/video/55-b37.html

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4- A l’extérieur dans les palais et maisons vénitiennes des joies de découverte.

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5- Village palestinien
Dans la cour de l’université, un artiste Palestinien, Bashir Makhouln, a réalisé une installation faite de maisons en carton.
Que chacun peut réaliser pour recréer sa maison, pour recréer l’idée de village pour occuper le jardin.

Bashir Makhoul will be occupying the garden of the Liceo Artistico Statale di Venezia with thousands of cardboard box houses. The occupation will be partly made by members of the public during the exhibition, who can view the growing cardboard shanty-town but will also be able to construct their own house from a stack of flat boxes.

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6- Dans un palais, les larmes de Simon MA. Un chinois qui a investi cet école de musique.

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Les pavillons dans l’Arsenal.

7- Le plus étrange des pavillons est celui d’Israël.
Gilad Ratman présente The Workshop (2013), a multi-channel site-specific installation at the Israeli Pavilion at this year’s 55th International Art Exhibition – La Biennale di Venezia. Commissioned by the Israel Ministry for Culture and Sport, Ratman is one of the youngest artists ever to be chosen for the Israeli Pavilion. The Workshop is based on a fictional underground journey from Israel to Venice taken by a small community of people. Their epic voyage starts in the caves of Israel, weaves through treacherous subterranean passages before bursting through the floor of the Israeli pavilion. On arrival, the group turn the pavilion into a workshop, sculpting themselves in clay they have transported from Israel. Gilad Ratman’s presentation reflects on the Biennale as a utopian model of nations’ connectivity. Whilst present-time political reality all over the world operates according to the “nation state” concept and a system of globalized capitalism, The Workshop presents a scenario where transit takes place across national borders in hidden underground networks – free, undetected and unidentified.

Ratman’s narrative manifests itself in a non-linear presentation of video, installation, sound and a physical intervention in the fabric of the Pavilion itself. The site-specificity of The Workshop – the videos and the sound – offer the viewer a reflection of an event that has taken place at that very location. In doing so, the work creates a fictional, yet true, history. Representing themselves in clay busts, which are accompanied by guttural voice recordings,the group’s workshop event suggests a return to a pre-linguistic stage of early human society. A recurring theme in his work, here Ratman explores the tension between universal patterns of human behaviour on the one hand and the divisions of language, nationality or government on the other.

The Workshop – video (one of the five channels)

Ou comment sur sa table de mixage, l’artiste met en musique les cris et expression d’artistes devant leur représentation en argile autour d’une semaine de travail sur eux même avec la mise en scène de la grotte du profond de la terre d’où ils sont sortis.

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8- e serbo che ammirano l’installazione di Vladimir Peric e Milos Tomic.

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Biennale

9- Les arbres dessinés par Patrick Van Caeckenbergh

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– A l’entrée de l’exposition dans les bâtiments de : Il Palazzo Enciclopedico, 55e Biennale de Venise cette sculpture de Robert Cuoghi

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L’Allemagne, qui compte les plus grands artistes d’aujourd’hui, a invité des étrangers au pavillon français. A commencer par le dissident chinois Ai Weiwei, interdit d’exposition en son pays, qui signe un labyrinthe inquiétant de tabourets suspendus.

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Dans le pavilion anglais, Jeremy Deller montre ainsi ce dont le Wende Museum a fait récemment comme acquisition, soit une importante collection de coupons d’actions du début de l’ère Gorbatchov, des documents bidons délivrés aux travailleurs russes, vendus comme parts de propriété d’investissement réalisées par des oligarques du système russe, parmi lesquels Roman Abramovich, résident britannique de Sa Majesté et « collectionneur » notoire et estimé.
Ce sont en fait des coupons émis par des entreprises mafieuses, qui ont construit la fortune actuelle de ces oligarques. Jeremy Deller, qui fut lauréat du prix Turner en 2004, montre ainsi les connections immorales qui existent entre marché de l’art et mafias internationales, à travers cet exemple plus que parlant. Sa collection de titres bidons qu’il expose au pavillon britannique, est là pour rappeler que l’argent de l’art a bien souvent une provenance, et une odeur : celle de la magouille de certains capitalistes sans scrupule, dorés d’une posture de « collectionneurs » qui, après avoir fait fortune dans des conditions criminelles, blanchissent leur fric dans le marché -juteux- de l’art, contemporain ou non, acquérant ainsi, à bas prix finalement, une respectabilité de bon aloi, à laquelle toutes les sirènes du milieu -artistes, marchands, curateurs, presse, collectionneurs… semblent désormais sensibles, se bouchant le nez sans repentir…

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Les œuvres de Jeremy Deller sont souvent collectives et subversives. Celles présentées dans le pavillon du Royaume-Uni interrogent la société anglaise, traitent de sa diversité culturelle, intègrent non sans humour les traditions et pratiques populaires, font référence au mouvement artistique « arts and crafts », fondateur de la modernité, dénoncent les dérives des financiers, notamment russes et leurs conséquences sur le marché de l’art contemporain dont l’opacité permet (parfois) de blanchir de l’argent sale.

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L artiste polonais, Pawel Althamer, a mis plus de 60 sculptures.

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Les sculptures massives et intrigantes de Phyllida Barlow.

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15. .ces trois sculptures de trois artistes différents.
from right to left:
John DeAndrea, Paul McCarthy, Jimmie Durham

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Ci dessous des dessins de Belmer.

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Je n ai pas retrouvé l auteur de cette présentation ou mini géométrique est comme un travail au point de croix pour disparaître

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17. Dommage aussi pour l auteur de ces vidéos que je n ai pas noté son nom car du vrai vidéo art dans le sens d un travail avec les pixels sur des sujet aussi basique que les pommes de Cézanne

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18- Walter De Maria a moulé vingt barres de bronze pour créer « Apollo’s ecstasy ».

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19- Pavilion de Chili. Alfredo JAAR nous présente le jardin de l’arsenal dans lequel on est englouti sous les eaux.

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20- Afrique du Sud. Wim Botha, (Pretoria) sculpte avec des documents, des livres empilés contenant des textes qu’il choisit. Il se sert du quotidien, du familier, mais aussi de l’emblématique.

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21. Skati. Indonésie

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22- Venezuela. Un Videotague

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23. –
Russie
Incroyable critique du capitalisme.
DANAE
Du ciel tombe de l’or , que seules les femmes peuvent aller voir au sous sol (avec un parapluie bien sûr).

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27. Berlinde De Bruyckere. La plus belle des prestations de la biennale, une découverte qui mérite un article pour elle toute seule.

http://www.regardaupluriel.com/berlinde-bruyckere/. Voir la présentation que Berlinde De Bruyckere. A propos de son expo á la maison rouge 2015

Ses sculptures explorent d’une manière extrêmement intime et troublante la vie et la mort : la mort dans la vie, la vie dans la vie, la vie avant la vie, la mort avant la mort. Elles apportent un éclairement, mais un éclairement aussi sombre que profond. »
J.M. Coetzee, communiqué de presse, 25 janvier 2013

Kreupelhout – Cripplewood

Berlinde De Bruyckere expose au Pavillon de la Belgique de la 55ième édition de la Biennale de Venise une nouvelle œuvre in situ qui plaide pour la beauté dissimulée: « Kreupelhout – Cripplewood » (Fourré). Dans cette installation, qui remplit toute la salle, elle traite les thèmes ancestraux qui ont toujours dominé son œuvre : la vie et la mort, Éros et Thanatos, la force et la fragilité, l’angoisse et la protection, le désir et la souffrance, la solitude et l’union. Elle ne s’éloigne pas non plus de sa méthode de travail habituelle, qui consiste à couler des corps naturels à l’échelle de la réalité. Pas des animaux ou des hommes cette fois, mais des arbres : la souche noueuse et imposante d’un orme mort et quelques troncs et branches fibreux et sans écorce. Elle peint les moules avec de la cire rouge et bleuâtre – sa palette de l’anatomie humaine – et les remplit de fines couches de cire d’un blanc laiteux. Les fragiles moulages de bois mort qui en résultent ont une morphologie humaine troublante. Couchant ensuite les arbres de cire, elle les transforme en une masse abstraite de muscles, de tendons et d’os où transparaissent le sang, les veines et les boursouflures des blessures. De grands coussins viennent soutenir et protéger cet étrange corps étendu. La métamorphose de l’homme en arbre ou de l’arbre en homme est visible, mais retenue, comme inachevée.

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28- La France
Présente le travail de Anri Sala Sur Ravel

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Né en Albanie en 1974, Anri Sala est venu à Paris en1996,

Ravel, Ravel, Unravel est composé de trois espaces de vidéos qui correspondent à trois quêtes artistiques. C’est le titre, un jeu de mot qui donne le sens au tout : ravel signifie en anglais emmêler. En français, l’œuvre s’énoncerait Ravel, emmêler, démêler.

Le cœur de la proposition est, comme dans beaucoup d’autres réalisations de cet artiste, un morceau musical : le Concerto en ré majeur pour la main gauche, pour piano et orchestre, écrit par Ravel en 1930.

Dans l’espace central du Pavillon, Ravel Ravel, consiste en deux films projetés simultanément, chacun centré sur la main gauche de deux grands pianistes : Louis Lortie et Jean-Efflam Bavouzet enregistrés avec l’Orchestre National de France, sous la direction de Didier Benetti. Ainsi une même musique est interprétée par deux musiciens en même temps et leur main est filmée séparément par deux ensembles de caméras. Chaque main gauche danse sur le clavier, la main droite immobile reposant sur leur cuisse.

Ces deux films sont projetés l’un en dessous de l’autre dans une chambre sourde, ce qui produit un espace sonore inhabituel ; ils génèrent, grâce à un travail de spatialisation sonore réalisé par le sound designer Olivier Goinard, la perception d’une “course” musicale due au décalage des tempos préparé en amont par Anri Sala et le compositeur et chef d’orchestre Ari Benjamin Meyers.

Mon intention, confie l’artiste, est de faire résonner un espace consécutif à l’écart temporel entre les deux performances. Il s’agit, dans un environnement destiné à annihiler la sensation d’espace (par la suppression des échos), de créer paradoxalement un espace « autre ».

C’est un projet sur le décalage et le recalage : cela implique beaucoup de choses, et on peut l’appliquer à beaucoup de choses. J’ouvre des possibilités d’interprétation et, surtout, une possibilité d’expérience. Ce que fait Chloé qui, en tant que DJ, a une sensibilité aiguë du temps, c’est synchroniser les deux exécutions du concerto de Ravel qu’on a vues dans la salle du milieu. Elle essaie d’annihiler l’écart de temps qu’il y a dans Ravel Ravel, sauf que là, c’est un peu comme en photographie analogique. C’est par le processus du négatif qu’on arrive au positif. Ce qu’elle écoute vraiment, on ne le saura jamais, parce qu’on n’entend que ce qu’elle modifie continuellement » expose Anri Sala.

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Mark Manders représente son pays au pavillon hollandais. Ses installations sont composées de bois, argile et métal.

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30- Espagne
Lara Almarcegui Une oeuvre proche esthétiquement du Land Art, mais un Land art extrêmement critique de la société contemporaine et de son économie capitalistique.
En y déposant gravas et autres déchets de l’industrie du BTP, Almarcegui transfigure les lieux délaissés qu’elle réinvestit en montrant la forte charge de beauté et de sensualité de leur état originel. Son travail dans les musées et galeries se traduit bien souvent par des croquis, photographies et notes explicatives sur ses réalisations monumentales d’extérieur. Sa position néo-écologiste et proche de la critique politique radicale de l’économie tient aussi par le système de pensée qu’elle construit à travers son oeuvre, une démarche qu’elle qualifie d’ »écosophique ».

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31- pavillon de Venise. Yiqing Yin at Venice Art Biennale 2013

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34- Et autre chose que cette vidéo montrée.

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36- Yiqing Yin, styliste franco-australienne d’origine chinoise très en vue entre autres au festival de Cannes, expose à la Biennale de Venise In-Between, une œuvre touchante.

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black cube. gianfranco meggiato

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-41- L’artiste Azerbaïdjanais Rashad Alakbarov peint avec les ombres et la lumière sur les murs, en utilisant des suspensions translucides et d’autres matériaux …

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43-Pour l’ambiance de la visite, on peut voir cette vidéo.

Il faut finir cette présentation , qui est déjà trop longue en remerciant Claire avec qui j ai partagé ce moment.

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